GEM Classification: Subtle stereotype Story Channel : SABC 1 Classification: Subtle stereotype Name of Episode : Generations: The Legacy (26 November 2018) SABC 1 Link: https://m.youtube.com/watch?v=lwuSDRd9DvI Details The episode tackles a […]
Cotonou, 25 janvier : Trois femmes sont dans le starting-block sur un total de 48 candidats retenus par la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) pour l’élection présidentielle du 28 février 2016 au Bénin. Parmi elles, on retrouve deux habituées : Marie Elise Gbedo et Célestine Zanou. Elisabeth Agbossaga Djawad en est Á sa première participation dans cette course Á la magistrature suprême. Dans ce podcast, Isabelle Otchoumare nous fait découvrir ces trois battantes qui font la fierté des femmes comme des hommes au Bénin.
Sorciers, génies, êtres surnaturels, êtres mystiques, tels sont les qualificatifs empreints de préjugés dont sont affublés les albinos en général et ce, dans nombre de pays africains et il en est de même en Côte d’Ivoire, pays de l’Afrique de l’ouest. Si les persécutions des albinos ont lieu principalement dans les communautés d’Afrique noire comme au Mali, au Cameroun, en République démocratique du Congo, au Burundi ou encore en Tanzanie, en Côte d’Ivoire, ils sont moins persécutés mais leur insertion socioprofessionnelle pose encore problème. Augustin Tapé, journaliste en Côte d’Ivoire, a rencontré quelques personnes souffrant d’albinisme pour mesurer le degré de stigmatisation qu’ils vivent au quotidien.
Selon les derniers chiffres du ministère de l’Education nationale, le Burkina Faso enregistre un taux de scolarisation brut de 82%. Selon ces mêmes données toutefois, 18% des enfants portant un handicap sont laissés sur le carreau. Cette réalité a fait que le ministère de l’Education nationale s’est inscrit dans une dynamique d’aménagement de classes inclusives pour un maximum d’enfants porteurs d’un handicap au sein du système éducatif classique. L’éducation inclusive a donc été lancée dans ce pays avec le concours des instituteurs et autres enseignants mais aussi des organisations non gouvernementales. L’expérience est concluante jusqu’Á présent, surtout eu égard aux excellentes performances réalisées par certains enfants porteurs d’un handicap, notamment les filles qui brillent d’année en année. Dans ce podcast, Séry Baoula fait le point sur le succès de l’éducation inclusive Á Ouagadougou pour le compte de Genders Links.
Cotonou, 14 janvier: La fécondité de la Béninoise demeure encore relativement élevée puisqu’elle donne naissance en moyenne Á 4,9 enfants durant sa vie féconde, selon l’Enquête Démographique de Santé de l’Institut National des Statistiques et de l’Analyse Economique datant de 2012. Les mêmes sources évoquent une fécondité précoce relativement élevée, soit 94% chez les 15-19 ans, qui augmente très rapidement pour atteindre son maximum Á 25-29 ans Á 251% et qui, par la suite, décroît régulièrement pour atteindre 17% chez les 45-49 ans. Mais un certain nombre Béninoises sont privées du bonheur de l’enfantement en raison de la stérilité dans le couple.
Côte d’Ivoire, 5 janvier: En Côte d’Ivoire, pays d’Afrique de l’Ouest, il existe plusieurs textes de loi censés régir le traitement Á être accordés aux hommes comme aux femmes incarcérés mais leurs droits sont bafoués en permanence. Les conditions de détention sont exécrables dans les prisons ivoiriennes. Augustin Tapé effectue un état des lieux de ces conditions de détention avec des activistes des droits de l’Homme qui soutiennent les détenus et défendent leur cause.
Maurice, 5 janvier: «Un enseignant, un livre, un stylo, peuvent changer le monde », répète Malala Yousafzai, Prix Nobel de la Paix 2014 et militante pakistanaise pour le droit des filles Á être scolarisées. Partout dans le monde alors que beaucoup d’élèves vivent leur rentrée scolaire de 2016, il y a encore plus d’une centaine de millions de petites filles qui sont écartées des bancs de l’école. Et ce, sous toutes sortes de prétextes fallacieux que l’on impute tantôt Á la religion, tantôt Á la culture, tantôt Á la politique, entre autres, et qui ont été instaurés par des sociétés patriarcales.
Port-Louis, 14 décembre : La phrase «J’aurais voulu que mes seins soient mon cerveau » imprimée en rouge sur des t-shirts, c’est l’une des dizaines de publicités que la Media Watch Organisation et Gender Links ont réussi Á faire interdire avec le concours de Vidya Narayan. Cette publicité avait été placardée dans toute l’île sur des poubelles et même devant des bâtiments très connus comme l’institut de formation de De Chazal Du Mée (DCDM) Á Quatre-Bornes, devant la mairie de Port-Louis, devant le théâtre de la capitale, devant le Jardin de Pamplemousses et sur d’autres poubelles.
Port-Louis, 9 décembre : L’intimidation ne date pas d’hier. Sous forme de lettre anonyme, d’appel anonyme ou de racket Á la sortie de l’école, l’intimidation s’est transportée sur Internet avec l’explosion des réseaux sociaux. A l’instar du très célèbre site Facebook dont l’utilisation première permet de rester en contact avec ses amis et sa famille Á travers le monde. Mais hélas, force est de constater que ce réseau social est depuis quelques années, utilisé pour harceler et faire du chantage, dénigrer, inciter Á la débauche ou encore, pour diffuser le plus largement possible, toute sortes de méchancetés pour porter atteinte Á la dignité et Á la vie privée d’une personne dans le but de lui nuire.
Les mots VIH et SIDA font peur Á Madagascar. Depuis la crise de 2009 jusqu’Á présent, la sensibilisation en vue de lutter contre cette pandémie s’est atténuée : moins de communication en audiovisuel, moins de communiqués sur les ondes radiophoniques et moins de conscientisation Á propos du dépistage volontaire. C’est l”Église catholique qui tire la sonnette d’alarme face aux 5% de personnes vulnérables vivant avec le virus. Le point Á l’occasion de la Journée mondiale du VIH/SIDA.
Cotonou, 8 décembre 2015: L’accès au monde de l’emploi n’est pas facile au Bénin mais il l’est plus encore pour une femme. Le quotidien des femmes en milieu professionnel peut être sujet Á des pressions et le harcèlement fait partie de ces pratiques qui compliquent la vie aux femmes.
Kishasa, 6 décembre : De 1998 Á 2015, 17 ans depuis que les massacres de Makobola et de Kasika, pour ne citer que ces deux-lÁ , ont été perpétrés dans le Sud Kivu, Á l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Plus de 1000 personnes, majoritairement des femmes et des enfants, ont été tuées, certaines femmes ont même été enterrées vivantes, plus spécifiquement Á Kasika. C’est la plus grande atrocité que le pays ait jamais connu. L’émotion était grande pour tous les Congolais en RDC comme ceux de la diaspora. Cet épisode a fait partie d’une série de massacres de civils commis en RDC entre 1993 et 2003 par l’armée régulière et les troupes étrangères impliquées dans différents conflits dans la région des Grands Lacs africains.