Fatherhood col 2

The most important thing I learned is that if one tackles gender issues, we have tackled service delivery issues. From that perspective, Gweru has come a long way from being skeptical of taking gender issues seriously to making it central on our agenda.

Johannesburg, 15 June: Father’s Day is also an important day to send a message out to fathers, men and boys that the time is now to end gender inequality and violence against women.

Maurice, 17 juin: Cadress Rungen, infatigable travailleur social, n’est pas un homme méritant un coup de chapeau juste pour la Fête des pères ! Loin de lÁ . Il fait partie de ces rares hommes qu’on admire tous les jours de l’année car il s’est donné pour mission de remettre debout ces hommes et ces femmes qui ont chuté et qui se sont mis en marge de la société. Ses fils l’ont tellement vu faire de l’accompagnement social qu’ils ont décidé de calquer leurs pas sur les siens. Cadress Rungen, c’est aussi le genre d’homme et de père qui reste toujours jeune et qui est ‘condamné’ Á  être aimé Á  père…pétuité.

Windhoek, 15 juin: Mon père a perdu le sien Á  l’âge tendre de 12 ans et c’est feu ma grand-mère qui l’a élevé, de même que ses frères. Etant l’aîné, il a subi énormément de pressions mais il est parvenu Á  relever le défi. Après ses heures de classe, il travaillait pour contribuer aux dépenses familiales et permettre Á  ses frères et sÅ“urs d’être scolarisés. Lorsque je fais un retour en arrière et que je pense Á  mes 12 ans, je ne peux pas m’imaginer faisant des choses aussi remarquables. C’est une des raisons pour lesquelles je l’appelle Surhomme.

Jamais dans l’histoire de la République Démocratique du Congo (RDC), on a eu une première dame aussi simple que Marie Olive Lembe, épouse du président Joseph Kabila Kabange. Elle fait la différence par rapport aux anciennes épouses des présidents qui elles restaient dans l’ombre de leurs maris tout au long de la législature.

Gaborone, 30 August: Bokaa is a village located approximately 50 kilometres from Botswana’s capital city, Gaborone. Like many other villages in Botswana, Bokaa has a chief commonly referred to in Setswana as Kgosi, and each chief has a traditional gathering place known as the Kgotla.

Traditionally, Setswana culture does not allow women and girls to enter the Kgotla wearing trousers or pants, and requires them to wear dresses and skirts. Most Batswana observe this rule with great respect and accept it as common cultural practice across the country.

Maseru, 23 August: Every day, we marvel at women’s power, we marvel at how they seem to endure the turbulences of life, never giving up. We never stop marveling at the infinite endurance of our mother. Our father however did not do the same. He looked down on her because she was never “good enough.À He insisted he loved her, yet his desire for another woman was far stronger. He remained indifferent, knowing this tortured her, shattering her happiness, confidence and independence. Mom felt robbed of her position in her own family and often wondered if she ever mattered.

Johannesburg, 8 August: I remember a conversation I had with a woman last week who recounted the harrowing story of the manager of a local restaurant who recently slit the throat of one of the waitresses.

Though I was unsurprised, her comment riled me: “But he is a white man.À I butt in saying that although one’s race and class certainly intersects with their gender, perpetrators of violence are misogynists that come in all colours, shapes and sizes. We cannot confine gender inequality and violence against women to any class, race, culture or country.

Moreover, women’s experiences of violence are primarily interpersonal. I added that the many forms of violence I have experienced, thus far, were all at the hands of white men, some of whom share my blood.

Women’s Month is not only important to celebrate the achievements and progress toward gender equality, but also to take stock of an on-going and seemingly timeless struggle.

Mon nom est Zotonantenaina RAZANADRATEFA. J’ai 27 ans et je suis marié Á  Jeanne Edmée Soharinirina. Nous nous connaissons depuis que nous sommes Á  l’université de Toamasine. C’est en 2007 que nous avons décidé d’avoir un enfant. Un garçon ou une fille, cela nous importait peu. En 2009, nous avons vécu un drame. Jeanne Edmée a été clouée au lit pendant 11 mois en raison d’une maladie non-identifiée, même si nous avons consulté tous les grands hôpitaux de la Grande Ile.

L’époque est révolue où les pères ne se souciaient guère de l’éducation de leurs enfants et ne s’investissaient pas dans la vie de la famille. Au contraire, de plus en plus de pères malgaches assument leurs devoirs familiaux et vont même au-delÁ  du simple fait de subvenir aux besoins de la famille. Mais dans l’absolu, ils restent marginaux.

Il est toujours lÁ  quand j’ai besoin de lui. Il devance mes pleurs. Il est parfois clairvoyant et je l’aime tout plein. Mon père, mon inspiration, mon coach personnel de vie.

Quand on pense aux enfants, on pense souvent et Á  raison Á  leur maman, Á  cette femme qui se sacrifie pour ses petits. Cette réalité s’est enrichie car bon nombre de pères mauriciens élèvent seuls leurs filles et sont Á  la base du succès de ces dernières, brisant comme le demande le Protocole de la SADC sur le genre et le développement tous les stéréotypes des pères violents, négligents et cruels.