Gender Justice Campaigns

I continue to live in fear of my life and my children’s life.

My name is Nomsa  I stay Ga-Mashashane, Mohlonong. I was married in the Mabotja family from 2007. Things were fine between me and my husband until 2013. In 2013 he […]

Gender Links Moçambique reune jovens em Boane no 8 de Março

MULHERES, homens e raparigas do distrito de Boane, província de Maputo, celebraram o 8 de Março, debatendo assuntos ligados à Saúde Sexual e Reprodutiva (SSR), prevenção e combate aos casamentos […]

March 13, 2019 Themes: Gender based violence Programs: Gender Justice

África Austral: Aliança ComunitÁ¡ria Exige Revisão do Protocolo sobre Género ainda em 2015

África Austral: Aliança ComunitÁ¡ria Exige Revisão do Protocolo sobre Género ainda em 2015

Harare 26 de fevereiro: Redes da SADC sobre Assuntos de Género instam o Conselho de Ministros da sub-região para colocar a revisão do Protocolo do Género da SADC, no topo da agenda da Cimeira de Chefes de Estado e de Governo, do corrente ano. Esta priorização decorre do facto de 2015 ser o último ano para a adopção das 28 metas do Protocolo, em alinhamento com os Objectivos de Desenvolvimento do Milénio (ODM).

Les Chances égales auraient-elles le dessus sur le statu quo des élites ?-Le Mauricien

Alors que la loi sur l’égalité des chances sera enfin promulguée, de nombreuse questions subsistent dans mon esprit, nous avons la chance d’être dans un pays de peuplement, sans aucun groupe pouvant réclamer une quelconque priorité de ‘peuple autochtone’. Nous mauricien avons généralement un grand seuil de tolérance, qui s’effrite quelque peu, avec la course vers l’argent les possession matérielles, un statut ‘social’ en progrès, le pouvoir personnel et un individualisme frisant le cynisme.
Chaque nation se construit peu a peu, a travers des événements clés, des bouleversements, et aussi en marge des enjeux et défis d’un monde en constante mutation. La république de Maurice 2012 n’est forcement pas le même que celle de 1992. En 20 ans, le monde a change le capitalisme occidentalise s’est largement essouffle après un semblant de triomphe ronflant, tandis que les instabilités climatiques et l’impact des développements accélérés et sans planification font peser une lourde menace sur notre planète. On doit donc toujours pouvoir s’adapter en adoptant d’autres manières de vivre, inculquer de nouvel notions et repartir sur de nouvelles bases…
Mais qu’en est-il de Maurice ? Comment les gens voient-ils leur avenir ? Est-ce qu’une perception d’un bonheur lointain commun pourrait-elle redynamiser notre nation et influencer nos aspirations personnelles ? Ou bien les principes régissant les possibilités de mobilité sociale sont-ils négligés, pour ne pas dire bafoues, empêchant toute vision commune et rendant vains tout discours idealogique et tout énième ‘plan stratégique’ ?s’il y a une certitude vie c’est celle du changement. Mais Á  Maurice même si l’on parle de long en large de ‘démocratisation’ le fait demeure que les élites dans diverses sphères de la vie sociale perdurent et se reproduisent, tout en n’élargissant pas suffisamment les espaces d’opportunités pour les autres.

Vidya Charan s’interroge sur la sécurité des femmes au travail-Le Mauricien

Intervenant ce matin au Domaine Les Pailles Á  l’ouverture d’un atelier basée sur le genre, dans le cadre de la campagne ‘ 16 Days violence Against violence 2011’, la directive exécutive de la Mauritius Family Planning Welfare Association, Vidya Charan, s’est interrogée sur la sécurité des femmes sur leur lieu de travail, dans une société patriarcale comme le notre.
« je voudrais souligner que, connaissant notre main-d’Å“uvre, ou une très large part est composée de femmes contribuant a la croissance et au développement du pays, ou plusieurs femmes occupent des postes a hautes responsabilités, la question de pose de savoir si elle peuvent vraiment travailler en toute sécurité, en rapport aux lois en vigueur ou l’on parle d’égalité d’opportunités et de droit humains ! », a lance vidya Charan devant un parterre en majorité d’hommes.
« Nous plaidons tous pour l’automisation (empowerment) des femmes. Et si elles sont autonomes, sont-elles vraiment libres de travailler et de donner le meilleur d’elles mêmes dans une société patriarcale comme la notre ? Ou sont elles condamnées Á  souffrir en silence et rester a la merci de leur agresseurs ? », A poursuivi la directrice de la Mauritius Family Planning Welfare Association(MFPWA). « Ce serait un domaine de recherche tres intéressant ! », a-t-elle laconiquement ajoute sans aucunement faire allusion aux difficultés qu’elle rencontre actuellement avec certains membres du conseil d’administration de son association.