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Ouagadougou, 25 novembre : Le mariage des enfants et en particulier des filles, est un phénomène préoccupant au Burkina Faso. Dans la région du Sahel Á l’extrême nord du pays, le phénomène reste un défi Á relever de nos jours. Eu égard Á cette situation, le thème choisi par le pays lors du 26e anniversaire de la Convention relative aux droits de l’Enfant, le 20 novembre 2015, était «Le mariage des enfants au Burkina-Faso : mobilisation et synergie d’actions pour éradiquer le phénomène ». Dans le cadre de la Journée internationale de la violence faite aux femmes, le 25 novembre, qui démarre la campagne des 16 jours d’activisme contre la violence envers le genre, Séry Baoula a rencontré des victimes, des parents et des acteurs de la lutte contre ces violences Á l’encontre des jeunes filles. Il fait le point sur cette question de mariages précoces dans ce podcast réalisé pour Gender Links.
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Séry Baoula est journaliste au Burkina Faso. Ce podcast fait partie de la campagne des 16 jours d’activisme contre la violence envers le genre. Campagne annuellement marquée d’une pierre blanche par Gender Links et qui apporte des perspectives nouvelles Á l’actualité quotidienne.
One thought on “Burkina Faso: Mariage d’enfants, le défi reste entier dans le Sahel”
I'm open to arguments on biology, but I truly believe that culture is the problem. There is an ann-eittillectual strain in the black community, where the 'nerd' section is derided as acting white. Single mothers (which seem to make up the majority of black mothers) are overwhelmed by their own decisions, and the consequences of keeping it real are no worse than the status quo.I see this as a the real problem in the black community. Until you can guilt them into thinking long-term, there won't be a change.