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Date : Lundi 28 Novembre 2011
Facilitatrice : Loga Virahsawmy
Thème : Le Pouvoir de la Parole Á travers les I Stories
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“Il est important de s’exprimer au sujet de la violence basée sur le genre afin de connaitre la situation et la solutionner. »
Changement Climatique
Ma contribution : En tant qu’individu, que faites-vous pour l’environnement?
Les participants ont énuméré les divers dilemmes climatiques auxquels font face leurs pays respectifs tels que la déforestation, le feu de la brousse, la sècheresse et la pollution entre autre. Ils sont d’avis qu’il faut plus de sensibilisation ainsi que des mesures écologiques et le suivi. A Maurice, par exemple, le gouvernement a mis en place un programme nommé « Maurice Ile Durable » qui vise Á soutenir des mesures écologiques. L’emphase sur le l’importance du reboisement et l’utilisation des agro-carburants a Madagascar nécessite une attention particulière. Les participants approuvent que les femmes ont un grand rôle a jouer par rapport au changement climatique car elles en sont les plus affectées surtout au niveau problème d’eau, de la santé, de l’électricité et de la nourriture entre autre. Les participants sont d’accord que la sensibilisation doit se faire Á plusieurs niveaux et devrait impliquer la localité, les médias et l’état. A Madagascar, y il a urgence d’implémenter les divers projets.
« Article 1 : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »
Question 1 : Est-il important / nécessaire / utile / efficace de s’exprimer au sujet de la violence basée sur le genre ? Pourquoi?
Les participants sont d’accord qu’il est important de parler de la violence basée sur le genre. Il existe de multiples bienfaits de sortir de l’ombre et de dénoncer la violence. La parole libératrice est avant tout une thérapie pour le / la survivant / survivante qui a l’occasion soulager sa peine. Une participante est d’avis que « c’est vraiment nécessaire, pour pouvoir briser le silence et étudier les cas afin d’y remédier. » En plus de s’aider a travers la thérapie de la parole, la survivante qui sort de l’ombre joue le rôle de modèle et aide d’autres victimes en les encourageant a dénoncer ce crime qu’est la violence basée sur le genre.
Questions 2, 3 et 4: Y a-t-il des gens au sein de votre communauté qui ont parle de leurs expériences de violence basée sur genre ? Quels en ont été les effets? Comment a réagi la communauté? Est-ce que les survivants de violence basée sur le genre sont encouragés Á s’exprimer? Existe-t-il des espaces ou ils peuvent le faire librement au sein de votre communauté ? Auriez-vous parlé et comment?
Les participants sont d’avis que les survivants hésitent toujours a parler de leurs expériences car le sujet est toujours tabou. De ce fait, le besoin de protéger ceux qui souhaitent s’exprimer s’est aussi fait ressentir. C’est dans ce sens que les participants ont fait ressortir l’importance d’offrir la possibilité au survivant de conserver l’anonymat. Les participants avouent qu’il est parfois difficile de garder sous couvercle l’identite du survivant, surtout s’il s’agit d’une personne proéminente. Les témoignages des participants devraient aussi faire état de leurs situations actuelles âpres avoir survécu a la violence. De ce fait, les témoignages devraient inclure les soutiens disponibles du point de vu financier, légal, psychologique ainsi qu’au sujet du logement. A Madagascar, les gens suivent les conseils des para-juristes et juristes. Ils reçoivent des conseils aux centres d’écoutes qui proposent même de les faire parvenir Á la réconciliation. Par rapport aux lois, les participants précisent que bien que celles-ci soient existantes, leurs applications laissent a désirer.
Questions 5 et 6 : Quel rôle peut jouer le gouvernement, les meneurs religieux et communautaires pour encourager les survivants Á s’exprimer? Que pouvez-vous faire?
Par rapport au rôle des religieux, certains participants sont d’avis que la prière aide aux victimes Á mieux faire face au problème la violence basée sur le genre. D’autres sont d’avis que le rôle des religieux dépasse l’écoute et les conseils. La majorité des participants approuvent que la prière a elle seule n’est pas suffisante. Les religieux ont un rôle Á jouer en tant que meneur d’opinion. Ils ont aussi la possibilité et la responsabilité d’éduquer la masse et de dénoncer la violence basée sur le genre. Les participants sont d’avis que les soutiens promulgués devraient aussi inclure le soutien financier car bien des personnes subissent la violence par manque d’indépendance financière. Les participants partagent l’opinion qu’il faut aider et soutenir les victimes de violence en but de diminuer ce fléau qui prend de l’ampleur. Vu que les victimes ont toujours peur de sortir de l’ombre il faut qu’elles puissent d’abord se confier Á un proche. Les participants sont d’avis qu’il faut aller Á la source et commencer la sensibilisation au niveau de la famille. Les solutions sont la sensibilisation, l’écoute, le soutien, les conseils et la réconciliation. Le rôle des medias pour éduquer et dénoncer la violence est aussi souligne au cours de la discussion. Les participants sont d’avis qu’il faut mettre en place de lignes vertes spécifiquement alloué pour faire face aux problèmes liés Á la violence basée sur le genre. Les participants proposent une ligne d’écoute et de conseil subventionnée par l’état. Ils préconisent aussi la formation afin de changer la mentalité et promouvoir une société non-violente. L’importance de la mise en place d’un système de suivi s’est aussi fait ressentir. Il en ressort que la sécurité des survivants nécessite plus d’attention. Le soutien familiale a aussi été mentionne car il arrive que la famille encourage la victime a s’accrocher a son foyer malgré la violence qui y perdure.
📝Read the emotional article by @nokwe_mnomiya, with a personal plea: 🇿🇦Breaking the cycle of violence!https://t.co/6kPcu2Whwm pic.twitter.com/d60tsBqJwx
— Gender Links (@GenderLinks) December 17, 2024
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