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Antananarivo, 23 June: La partie Est de Madagascar est un des zones les plus caractérisés par les cas de violences conjugales. Plusieurs formes de violence y ont été identifiées : plusieurs femmes sont battues par leurs compagnons, d’autres sont victimes de violence économique, en conséquence, le taux de divorce a fortement augmenté. Le plus désolant c’est que certains couples, notamment les plus démunis sont contraints d’abandonner leurs enfants et les laisser Á la charge des services sociaux presque inexistants.
Madame Marie Flore BEZENARIZANANY et l’association qu’elle dirige ont décidé d’assister les femmes victimes de violence conjugale dans la ville de Tamatave. Pour se faire, ils ont commencé par faire une descente sur terrain afin de recenser les foyers abritant les auteurs de violence. A chaque déplacement, ils ont organisé des séances d’information et de sensibilisation. Ils ont surtout ciblé les jeunes et/ou mariés ainsi que ceux qui sont en âge de procréer. Aussi, ils organisent des ateliers de formation en couture, artisanat et en cuisine pour les plus vulnérables. Les premières bénéficiaires sont les survivantes, mais ensuite ils prennent aussi des femmes qui ont été violentés ou victimes de harcèlement sexuel sur leurs lieux de travail.
Notons que les deux objectifs principaux de l’organisation est de réduire de 50% le taux de violence conjugale, et celui de coallier les genres pour la prospérité familiale.
Aina RAFIDINARIVO, Etudiant en Communication et Médias, Université d’Antananarivo, Madagascar. Cet article portant sur le Sommet national de Gender Links fait partie du service d’information de GL qui apporte des perspectives nouvelles Á l’actualité quotidienne.
📝Read the emotional article by @nokwe_mnomiya, with a personal plea: 🇿🇦Breaking the cycle of violence!https://t.co/6kPcu2Whwm pic.twitter.com/d60tsBqJwx
— Gender Links (@GenderLinks) December 17, 2024
Comment on Madagascar: STOP A LA VIOLENCE CONJUGALE