Marie ,une jeune fille agee de 18 ans ,souffrant d’une forme avancee de cataracte a ete violee ,par son pere age de 65 ans;a plusieurs reprises pendant 5 mois.Elle attend un bebe de celui-ci qui est en detention policiere.Marie est quelque peu soulagee mais se demande comment elle fera pour elever son enfant dans la mesure ou elle est malvoyante et que sa mere diabetique,amputee d’une jambe est alitee depuis 2009.Asssi ont elle a payee un loyer de Rs3000 par mois.
Le Minitere de l’egalite du genre,compte exploiter les familles d’accueilmen vue de renforcer l’encadrement des mineurs necessitant une prise en charge demandera bientot aux familles voulant soutenir ce programme a s’inscrire.Le ministere se chargera de la formation des parents d’accueil ainsi que du suivi des enfants.
Patricia Ramjeet est ce qu,on appelle une mere d’accueil,c’est un veritable combat qu’elle mene chaque jour pour ses enfants,elles les a tous eleves avec amour.Les enfants lui sont confies par l’association Terre de Paix qui oeuvre pour les enfants demunis.
Un enfant de trois ans est mort par asphyxie dans la voiture de son pere alors que ses proches dormaient.L’enfant se serait lui-meme enferme dans la voiture.Aucun delit n’a ete commis selon la loi Mauricienne.Certains pensent qu’il serait bon que la Law Reform Commission inscrit ‘La Responsabilite Parentale’ dans nos lois.
A la veille des examens un élève du CPE se fait éjecter de l’autobus.Il risque de ne pas pouvoir prendre part au examens du Certificate of Primary Education(CPE).Tout ça Á cause de l’insouciance d’un chauffeur d’autobus.
Interview de Sandhya Boygah,Présidente de la commission des sports et du loisir, au conseil des Districts du Nord,sur l’organisation d’un tournoi de volley-ball disputé le 24 sept et le 1 oct Á Roches-noires et Á Rivière du Rempart respectivement.
Une rencontre a été faite entre l’Attorney General, Rama Valayden et les membres de la Law Reform Commission (LRC) pour permettre de revenir sur les différentes propositions de la LRC. Ayant un statut indépendant, la LRC a été instituée en 2005 avec l’objectif de revoir nos différents textes de loi afin de reformer leur mise en Å“uvre et ce pour plus de facilité et d’accessibilité.
While President Jacob Zuma grabbled world headlines last week with his about turn on government’s HIV and AIDS policy, he has been conspicuous for his absence from the Sixteen Days of Activism that runs from 25 November (International Day of No Violence Against Women) to 10 December each year. Newspapers have been flooded with news of the fight against HIV and Aids under the banner “hope.À The same cannot be said about the fight against the twin scourge of gender violence.
Men and women with disabilities face many challenges in Southern Africa, especially related to discrimination and access to services. For many women, this also means that they face challenges when accessing health care services at one of the times when it is most important À“ when they are pregnant.
As we commemorate 16 Days of Activism, along with highlighting how extensive the problem still is, we also need to pause a moment to thank the people who work tirelessly 365 days a year to help and support survivors. Iriss Phiri, whose home in Lusaka’s Chilulu residential area is a haven for women fleeing violence, is one such person.
Marriage brings happiness to some, but for me it was a nightmare for twenty-five years. I stayed in an abusive marriage, enduring it, always hoping that what did not work out today, would tomorrow. It was my son’s sickness that ended it: a son who had been a breadwinner for my husband and me. Because it ended, I found happiness. Let me explain.
My name is Mubayandi Kwiima.* I am 39-years-old and a mother of five. I’m the second wife in the polygamous marriage of three wives. I work as a clerk at one of the government ministries in Zambia.