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Nom de l’article: Un enfant se dit persécuté et battu par son institutrice.
Nom du journal: Le Défi Quotidien
Date: 03 Juin 2011
Pays: Maurice
Thème: Education
Techniques : Reportages
Genre journalistique : Nouvelles et brèves
Classification du genre : sensible au genre
Description : L’article parut dans Le Défi du 3 Juin 2011 fait part d’Aayush, un enfant âgé de huit ans, élève de la Std III, et qui fréquente une école primaire située Á Mahebourg. Celui ci déclare qu’il aurait été persécuté et battu par sa maitresse. Cet affaire éclata lorsque le petit Aayush fait pipi dans son pantalon puisque sa maitresse lui refusa la permission d’aller au toilette et ceux a deux reprises. Les parents n’ont pas hésité Á déposer une plainte contre l’enseignante, ne supportant plus que leur enfant soit sans cesse tourmenter par celle-ci. C’est alors que l’enfant déclare qu’il est souvent battu et ceux avec deux règles et qu’il a même peur d’aller a l’école car son enseignante est méchante. Les parents de leurs cotes racontent que depuis qu’Aayush a pour maitresse cette dernière ; il s’est renferme sur lui-même et ses performances Á l’école ont soudainement chute. D’ailleurs ils se sont a maintes reprises rendu a l’école après les incidents déplorés par le gamin mais cette fois n’ayant plus le choix ils se sont tournes vers les autorités afin de régler ce problème pour de bon. Quant a la Government Teacher’s Union, qui s’est entretenue avec l’enseignante qui dément toute accusation, elle souligne que beaucoup d’enseignants sont victimes d’allégations, et cela jusqu’Á preuves du contraire.
Analyse : L’article est classifié comme étant sensible au genre. Le journaliste a pris la peine d’investiguer sur le probleme de ce jeune homme qui est victime de violence par son enseignante .Il a donc inclut différents sources qui est celles des victimes, de sa mère et de son père. A Maurice il existe 40 droits pour les enfants et l’une d’entre elles stipule clairement qu’aucun enfant ne peut être victime de violences quelconque. Par ailleurs le journaliste aurait pu penser Á recherche l’opinion de l’Omsbudsperson par apport Á ce problème, sans oublier qu’elle est la mieux place Á répondre aux questions qui correspondent aux droits des enfants. Alors que ce fait se passe dans un établissement scolaire d’autre élèves aurait pu donner leur point de vue sur cette enseignante qui aux yeux d’Aayush n’a pas de mérite et le précise en disant que celle-ci est « méchante ». Cela aurait pu définir si cet avis est partage. D’autre part l’éducation de ce jeune enfant est en jeu car s’il ne peut pas se concentrer sur ses études, comment pourrait il avance ? La question que l’on se pose est ; pourquoi est ce que cette enseignante a agi de cette façon, envers non pas toute la classe mais uniquement avec Aayush ? D’un point de vue social et éducatif, un enseignant se doit a traiter tous ses élèves avec égalité quelque soit sa race, sa religion, sa couleur ou ses aptitudes en classe. Alors, que faisait la maitresse lorsqu’elle maltraitait Aayush ? Nous devons aussi noter que la maitresse Á démontrer un abus de pouvoir envers le petit Aayush ; elle a usée de sa capacité Á donner des ordres pour infliges au petit une correction, dans ce cas ci, non méritée. Et le maitre d’école, pourquoi n’est il pas intervenu lorsque les parents du petit l’on parle de l’affaire ? Il est quand même censé être responsable de cet établissement donc responsable de ce qui se passe dans les classes. Des questions, il y en a des tonnes ; ce sont plutôt les réponses qui manquent.
Remarque du formateur : Il y a deux photos incorporées dans l’article. Le premier est le visage du petit Aayush et Á cote de celle-ci une photo du devoir mal corrige par la maitresse. Celle-ci est la preuve que la maitresse a, en effet, mal corriges le devoir de l’enfant. Les voix des petits camarades d’Aayush aurait pu être intégrer afin d’avoir une autre version, si telle existe, de ce qui c’est passe ce jour la. Le journaliste aurait aussi pu mentionner le nombre de cas de maltraitances a l’encontre des enfants survenant dans des institutions scolaires.
Exercices
1. Quelles sont les voix manquantes ?
2. Que font les autorités pour que des incidents comme ceux-ci n’arrivent pas ?
3. Fait-on des campagnes de sensibilisation pour empêcher la violence Á l’école ?
4. Les formations données aux futurs enseignants, sont elles complètes et appropriées ?
Comment on Un enfant se dit persecute et battu par son institutrice.