
Name of monitor: Patricia Mahachi Name of Television station: SABC 3 Name of programme: News @ 9 Date of broadcast: 14/01/2019 Genre: News Time: Time of broadcast: 21:00:21:30 GBV focus: […]
Name of monitor: Patricia Mahachi Name of Television station: SABC 3 Name of programme: News @ 9 Date of broadcast: 27/11/2018 Genre: News Time: Time of broadcast: 21:00:21:30 GBV focus: […]
While there is still much to do to achieve a state of equality between the both sexes there are significant progress that deserve to be underlined. If women, in Mauritius, have conquered the last few decades, the right to work, there were still areas reserved for men, such as trades or construction.
The Prodesign firm specialized in design and engineering shows how they are offering equal positions to women and not only to graduates of electrical and mechanical.
Lutte contre les violences
Statistics indicate that domestic is a major problem in Zimbabwe with a total of 3141 domestic violence cases already reported in the first quarter of 2012. Government in 2007 set up the Anti-Domestic Violence Council. Deputy features editor Roselyne Sachiti (RS) spoke with the Anti-Domestic Violence Council chairperson Mr Kelvin Hazangwi (KH) to find out what the council has been doing to lower the statistics
Something raw is happening behind the scenic beauty of Malawi’s Chikangwa forest- scores of men are queuing for sex with a single woman in a nondescript shack, most times without a condom.
Description: Mankayane – A man and his two girlfriends sleep indiscriminately together in the same one-room flat they share with three children.
Thembinkosi Mabuza and his family currently share the room at the densely populated Mangwaneni location at Mankayane in the Manzini region.
One of the live-in lovers, who preferred to be referred to as LaNkhosi, in an interview yesterday, said they were now accustomed to the prevailing sleeping arrangement.
la violence domestique peur commencé par la violence verbale qui peut dégénérer en violence physique. Lova a tenté d’instaurer le bonheur dans la vie, dommage, elle a perdu.
A vingt ans, lova était sur les nuages, elle est étudiante et vient de remporter son concours d’entrée en en gestion. Elle vit dans un environnement de grande famille, beaucoup d’amis et elle la vie toit simplement. Par l’intermédiaire de ses amis, elle rencontré celui qu’elle considère pour l’amour de sa vie, et ils ont vécu ensemble. Son copain Sendra est très charmant, doux et drôle. Ainsi, Lova n’a jamais soupçonné que ce comportement cachait un besoin de contrôle qui conduirait Á des abus.
According to GL Sex work is a business, but it is not only women involved in this line of work (Gender & Media Diversity Journal 2009; 52). It is by far the oldest profession in the world. Since time immemorial prostitution has been practised in society and often associated as a profession for women. However, as society has become more and more socialized and advanced, the profession seems to be changing hands as the male specie is now actively partaking in the profession, albeit the fact that it was once considered a taboo for a man to be known as a prostitute.
om de l’article: Pratique illégale : Des médicaments vendus dans les boutiques.
Nom du journal: Le Défi Plus
Date: 10 Sept 2011
Pays: Maurice
Thème: Sante
Techniques : Enquête
Genre journalistique : Nouvelles et brèves
Classification du genre : Abstraction du genre
Description : L’article paru dans Le Défi Plus du 10 Septembre 2011 fait part de la vente des médicaments dans les boutiques de différents endroits, une pratique non seulement illégale mais aussi dangereuse. Sur sept boutiques visitées, cinq vendent des médicaments tels les antidouleurs comme le Panadol soluble et l’Efferalgan, mais aussi des anti-inflammatoires. Ravind Gaya, ancien président de la Pharmaceutical Association Mauritius (PAM), fait partie de ceux qui ont alerté les autorités concernées. C’est lui qui, il y a huit ans avait exigé l’interdiction du paracétamol dans les boutiques et grandes surfaces. Celui-ci déclare que « C’est malheureux que huit ans après, la situation soit pire ! Non seulement les boutiquiers et gérants de grandes surfaces vendent-ils du paracétamol, mais ils vendent aussi des anti-inflammatoires. Ils sont inconscients du danger auquel ils exposent leurs clients car ils n’ont pas les compétences pour vendre des médicaments ».
Analyse : L’article est classifié comme faisant abstraction du genre, puisque seul deux hommes ont pu partager leurs avis sur cette pratique illégale, il s’agit d’un pharmacien et de Ravind Gaya, ancien président de la Pharmaceutical Association Mauritius. La femme quant a elle n’a pas eu son mot Á dire alors que cet article met l’emphase sur la santé. Il semblerait que le journaliste ait été sur le terrain afin de mettre Á découvert cette pratique illégale, mais il aurait pu aller plus loin en prenant les propos des mauriciens et mauriciennes afin de leur laisser la chance de s’exprimer sur ce problème. Certainement les propos du ministère du commerce et de la Santé dans cet article pourraient décevoir plusieurs, car ici la loi n’est pas respectée et les lecteurs se demandent surement que font les autorités afin de faire cesser ce problème. Et tout comme le pharmacien l’a commenté « Ces commerçants le font au nez et a la barbe des autorités sans être inquiétés. Pourtant ils sont en train de mettre en danger la sante des malades ». Ravind Gaya a par ailleurs précisé qu’il y a huit ans, il avait exigée l’interdiction du paracétamol dans les boutiques et de nos jours même des anti-inflammatoires sont en vente, ce qui veut dire que la situation s’aggrave de plus en plus. Afin de mettre sur pied un plan d’action pour lutter contre cette pratique illégale, le ministère de la Santé a organisé une réunion ayant pour participants les représentants des pharmaciens, du Consumer Protection Unit, du ministère du Commerce, de la Mauritius Revenue Authority, et de la Small and Medium Enterprises Development Authority. Le journaliste aurait bien pu rechercher l’avis de quelques uns de ces participants. Les boutiquiers et les grandes surfaces sont les principaux concernés de cette pratique et le journaliste n’a fait qu’ignorer ces personnes en ne leurs laissant aucune chance de s’exprimer. Peut-être qu’ils n’ont pas pensé aux complications dont certains pourraient en être victimes après avoir pris ces médicaments ; leur but étant de venir en aide a ces personnes qui résident dans leur région.
Remarque du formateur : Bien que le journaliste ait décidé de mener sa propre enquête, cet article démontre non seulement un manque d’opinions mais aussi d’informations, sans oublier que une fois de plus la femme n’a pas eu l’occasion de s’exprimer alors qu’elle est belle et bien concernée par ce problème de pratique illégale qui pourrait nuire a la santé de tous. En précisant que cette pratique est ‘illégale et dangereuse’, le journaliste aurait pu profiter pour sensibiliser les lecteurs sur les peines courantes que risquent les commerçants qui ne respectent pas la loi, en procurant illégalement ces médicaments aux clients. Il aurait aussi pu rechercher l’avis d’un médecin qui aurait commenté sur les dangers de ces médicaments. Ou encore les prévenir que ces médicaments achetés n’ importe où, comportent le risque d’être expirés et qui au lieu d’aider Á les guérir pourrait justement nuire Á leurs états. Le journaliste a aussi incorporé une photo dans cet article, celle d’une femme qui vend du paracétamol dans sa boutique, une image qui va encore une fois prouver que cette pratique est bien courante dans le pays.
Exercices :
 Quelles sont les voix manquantes ?
 Quel sont les sanctions prises a l’encontre des commerçants qui ne respectent pas la loi?
 Comment le journaliste aurait-il pu agrémenter cet article ?