
By Graça Maria- 11 December 2018- A Gender Links em parceria com Município da vila de Mandlakazi promoveram um debate debate em volta do papel dos partidos políticos na promoção […]
Le monde commémore, le jeudi 1er décembre, la journée mondiale de la lutte contre le sida. En marge de cet événement, nous donnons la parole Á Nicolas Ritter de l’association PILS qui fête, cette année, ses 15 ans d’existence.
La Journée mondiale de la lutte contre le Sida sera observée le jeudi 1er décembre. En quoi cette commémoration sera-t-elle différente cette année ?
Sur le plan international, cela fait, cette année 30 ans que le premier cas de Sida a été détecté aux Etats-Unis, même si on sait que le virus existait sur le continent africain depuis plus longtemps. A Maurice, cela fait 15 ans que l’association existe et cinq ans que les programmes de réduction des risques existent : en l’occurrence les programmes d’échange de seringues et le traitement par le biais de la méthadone. Donc, c’est vraiment le moment de faire le point, a la lumière de ces dates-phares qui font que la commémoration de la Journée Internationale cette année est particulière.
Il y a aussi une situation particulière aujourd’hui ; on n’a jamais été aussi près de faire reculer l’épidémie du Sida, tant sur le plan internationale que sur le plan local. C’est-a-dire qu’aujourd’hui, on sait ce qui marche. De nouvelles stratégies ont été mises en place et on peut maintenant dépister la maladie et traiter les gens avec les moyens efficaces qui portent des fruits. A Maurice, on remarque une légère baisse dans le nombre de personnes qui sont testées positives. Mais pour autant, alors qu’on sait ce qu’il faut faire pour maitriser la maladie, les ressources diminuent au niveau international. On vient d’apprendre que le fond mondiale contre le Sida, la tuberculose et le paludisme n’a plus d’argent que les pays qui se sont engages Á financer ce fonds se sont rétractés.
« Paran Zordizour »sensibilise Á la lutte contre la violence dans l’éducation des enfants.
Forts de leur collaboration fructueuse depuis trois ans, le bureau de l’Ombudsperson pour les enfants et l’IBL Foundation ont joint leurs efforts a nouveau pour développer un nouvel outil éducatif audio-visuel visant Á mettre en avant les mesures alternatives a la violence dans l’éducation des enfants.
A cet effet, Paran Zordizour’, un court-métrage en kreol, et une brochure dessinée par POV ont été réalisés afin de conscientiser les parent pour leur expliquer la discipline positive et les traumatismes graves pouvant découler de la violence dans l’éducation des enfants. Le lancement du DVD a eu lieu au restaurant d’entreprise d’IBL au Caudan, le mercredi 30 novembre, en présence de la ministre de l’égalité du genre, du développement de l’enfant et du bien être de la famille, Mireille Martin, et de nombreux invites.
Des solutions Á une réalité récurrente.
Ce court-métrage met en scène une famille dont la nature colérique, frappe souvent son fils quand il fait des bêtises. Prévenue par une voisine, la Child Development Unit entre en action pour protéger l’enfant et faire comprendre a son père qu’il peut éduquer son fils autrement que par la violence.
Intervenant ce matin au Domaine Les Pailles Á l’ouverture d’un atelier basée sur le genre, dans le cadre de la campagne ‘ 16 Days violence Against violence 2011’, la directive exécutive de la Mauritius Family Planning Welfare Association, Vidya Charan, s’est interrogée sur la sécurité des femmes sur leur lieu de travail, dans une société patriarcale comme le notre.
« je voudrais souligner que, connaissant notre main-d’Å“uvre, ou une très large part est composée de femmes contribuant a la croissance et au développement du pays, ou plusieurs femmes occupent des postes a hautes responsabilités, la question de pose de savoir si elle peuvent vraiment travailler en toute sécurité, en rapport aux lois en vigueur ou l’on parle d’égalité d’opportunités et de droit humains ! », a lance vidya Charan devant un parterre en majorité d’hommes.
« Nous plaidons tous pour l’automisation (empowerment) des femmes. Et si elles sont autonomes, sont-elles vraiment libres de travailler et de donner le meilleur d’elles mêmes dans une société patriarcale comme la notre ? Ou sont elles condamnées Á souffrir en silence et rester a la merci de leur agresseurs ? », A poursuivi la directrice de la Mauritius Family Planning Welfare Association(MFPWA). « Ce serait un domaine de recherche tres intéressant ! », a-t-elle laconiquement ajoute sans aucunement faire allusion aux difficultés qu’elle rencontre actuellement avec certains membres du conseil d’administration de son association.
This report is the second in a series of quarterly “Mirror on the Media” surveys being carried out by the Media Watch Organisation in Mauritius. It covers monitoring conducted over two phases during November and December 2004. The first phase took place before the Sixteen Days of Activism Campaign, from the 1st to the 16th November 2004 and the second phase during the campaign, from 25th November to 10th December 2004.
This report is the second in a series of quarterly “Mirror on the Media” surveys being carried out by the South African Gender and Media (SAGEM) Network. It covers monitoring conducted over two phases during November and December 2004, the first phase took place before the Sixteen Days of Activism Campaign and the second phase was conducted for the duration of the campaign.