Data from a natural experiment are used to demonstrate how a sudden change in education policy in Burkina Faso is useful in estimating the effect of maternal education on child health. Indeed, a major problem in estimating the effect of maternal education on child health is that unobserved factors may affect maternal education and child health simultaneously, causing endogeneity bias. Most studies on the relationship between maternal education and child health have used instrumental variables to address the endogeneity problem. Because it is very difficult to find instrumental variables that clearly satisfy the requirements of “correlation with maternal education” and “non- correlation to unobserved factors”, instrumental variables do not guarantee a solution to the endogeneity problem. A way around this is the use of natural experiment as an identification strategy.
Recognizing that HIV risk is shaped by a complex web of social, economic, and legal factors that affect women, men, girls, and boys differently, many in the development community have long been calling for the integration of gender-specific1 strategies to combat the spread of HIV (Gupta 2000; Gupta et al. 2008). The merit of this approach is supported by recent research demonstrating that HIV programs that integrate multiple PEPFAR gender strategies can be particularly effective in helping women protect themselves against HIV and reducing the frequency of sexual and gender-based violence (SGBV; Pronyk et al. 200
om de l’article: Pratique illégale : Des médicaments vendus dans les boutiques.
Nom du journal: Le Défi Plus
Date: 10 Sept 2011
Pays: Maurice
Thème: Sante
Techniques : Enquête
Genre journalistique : Nouvelles et brèves
Classification du genre : Abstraction du genre
Description : L’article paru dans Le Défi Plus du 10 Septembre 2011 fait part de la vente des médicaments dans les boutiques de différents endroits, une pratique non seulement illégale mais aussi dangereuse. Sur sept boutiques visitées, cinq vendent des médicaments tels les antidouleurs comme le Panadol soluble et l’Efferalgan, mais aussi des anti-inflammatoires. Ravind Gaya, ancien président de la Pharmaceutical Association Mauritius (PAM), fait partie de ceux qui ont alerté les autorités concernées. C’est lui qui, il y a huit ans avait exigé l’interdiction du paracétamol dans les boutiques et grandes surfaces. Celui-ci déclare que « C’est malheureux que huit ans après, la situation soit pire ! Non seulement les boutiquiers et gérants de grandes surfaces vendent-ils du paracétamol, mais ils vendent aussi des anti-inflammatoires. Ils sont inconscients du danger auquel ils exposent leurs clients car ils n’ont pas les compétences pour vendre des médicaments ».
Analyse : L’article est classifié comme faisant abstraction du genre, puisque seul deux hommes ont pu partager leurs avis sur cette pratique illégale, il s’agit d’un pharmacien et de Ravind Gaya, ancien président de la Pharmaceutical Association Mauritius. La femme quant a elle n’a pas eu son mot Á dire alors que cet article met l’emphase sur la santé. Il semblerait que le journaliste ait été sur le terrain afin de mettre Á découvert cette pratique illégale, mais il aurait pu aller plus loin en prenant les propos des mauriciens et mauriciennes afin de leur laisser la chance de s’exprimer sur ce problème. Certainement les propos du ministère du commerce et de la Santé dans cet article pourraient décevoir plusieurs, car ici la loi n’est pas respectée et les lecteurs se demandent surement que font les autorités afin de faire cesser ce problème. Et tout comme le pharmacien l’a commenté « Ces commerçants le font au nez et a la barbe des autorités sans être inquiétés. Pourtant ils sont en train de mettre en danger la sante des malades ». Ravind Gaya a par ailleurs précisé qu’il y a huit ans, il avait exigée l’interdiction du paracétamol dans les boutiques et de nos jours même des anti-inflammatoires sont en vente, ce qui veut dire que la situation s’aggrave de plus en plus. Afin de mettre sur pied un plan d’action pour lutter contre cette pratique illégale, le ministère de la Santé a organisé une réunion ayant pour participants les représentants des pharmaciens, du Consumer Protection Unit, du ministère du Commerce, de la Mauritius Revenue Authority, et de la Small and Medium Enterprises Development Authority. Le journaliste aurait bien pu rechercher l’avis de quelques uns de ces participants. Les boutiquiers et les grandes surfaces sont les principaux concernés de cette pratique et le journaliste n’a fait qu’ignorer ces personnes en ne leurs laissant aucune chance de s’exprimer. Peut-être qu’ils n’ont pas pensé aux complications dont certains pourraient en être victimes après avoir pris ces médicaments ; leur but étant de venir en aide a ces personnes qui résident dans leur région.
Remarque du formateur : Bien que le journaliste ait décidé de mener sa propre enquête, cet article démontre non seulement un manque d’opinions mais aussi d’informations, sans oublier que une fois de plus la femme n’a pas eu l’occasion de s’exprimer alors qu’elle est belle et bien concernée par ce problème de pratique illégale qui pourrait nuire a la santé de tous. En précisant que cette pratique est ‘illégale et dangereuse’, le journaliste aurait pu profiter pour sensibiliser les lecteurs sur les peines courantes que risquent les commerçants qui ne respectent pas la loi, en procurant illégalement ces médicaments aux clients. Il aurait aussi pu rechercher l’avis d’un médecin qui aurait commenté sur les dangers de ces médicaments. Ou encore les prévenir que ces médicaments achetés n’ importe où, comportent le risque d’être expirés et qui au lieu d’aider Á les guérir pourrait justement nuire Á leurs états. Le journaliste a aussi incorporé une photo dans cet article, celle d’une femme qui vend du paracétamol dans sa boutique, une image qui va encore une fois prouver que cette pratique est bien courante dans le pays.
Exercices :
 Quelles sont les voix manquantes ?
 Quel sont les sanctions prises a l’encontre des commerçants qui ne respectent pas la loi?
 Comment le journaliste aurait-il pu agrémenter cet article ?
This study explores women’s access to land under the customary tenure system. It examines how the changes in land tenure, access and rights to land as a consequence of HIV/AIDS are affecting agricultural productivity, food security and poverty, with a specific focus on women who have lost their husbands to HIV/AIDS in Zvimba. Zvimba is a village community located in Zvimba District in the Mashonaland West Province of Zimbabwe. The study also discusses policy responses designed to cushion the impact of HIV/AIDS on local communities especially women living with HIV/AIDS. The study highlights the vulnerability of widows to land rights violations, mainly inflicted by relatives but sometimes by the wider community. The main form of abuse encountered included the use of abusive language, threats of evictions and at times, beatings. The legal route for seeking redress was rarely used. Fear of witchcraft, low educational levels and fear of causing conflict between children and their paternal relatives also led widows to abandon the fight for their rights. The study further reveals that widows are heavily exposed to dispossession of their land rights. HIV/AIDS has increased the vulnerability of widows and other women to threats and dispossession of their land and other property rights. Dispossession of arable fields was observed in the four wards. The dispossessions and threats to livelihoods were directly related to the HIV positive status of the widows. The findings from this study illustrate the predominant role that male members of the household or family have over land. Thus, culture and traditional practices still affect women in other cases, disadvantaging them in favour of men, as in inheritance of land and property in the household.
Namibia is one example of a SADC country in which maternal mortality is on the rise, despite good health care services and birth attendance. In 2008 the Ministry of Health and Social Services conducted a Health and Social Services System review. The review recommends the roll out of the road map for reducing maternal mortality and improving newborn health.
Even as African countries join the rest of the world in Durban, South Africa to evaluate the impact of climate change on livelihoods, there are concerns about the use of solar energy, rapidly gaining popularity in African countries, which was once heralded as an environmental solution to energy needs.
In 2002, my first born son was diagnosed with HIV, and by that time he was staying with his grandmother. He phoned and told me he was not feeling well and I agreed that he should come to Lusaka. At the time he got sick he was staying in a village where there was no clinic. He came to Lusaka and stayed with me. He complained of general body pains. I looked at him: he was very sick, and there was a need for him to be taken to the hospital. I took him to the nearest health centre, 7km from my house.
Enquête de l’AIDS UNIT
645 des homosexuels et bisexuels séropositifs ont une hépatite C
Selon l’étude, les discriminations rendent cette population plus vulnérable aux infections.
L’incidence du VIH/Sida dans la population masculine homosexuelle et bisexuelle est de 8,1%. Moins élevée que sur le continent africain, la transmission du virus dans cette population et un ‘growing concern’ a Maurice, indique une étude du ministère de la sante financée par le Global Fund avec la coopération de l’UNAIDS. 64% de ceux infectes ont aussi une hépatite C. 72,1% n’ont jamais subi de test de dépistage et 71,5% n’ont jamais subi de test de dépistage et 71,5% n’ont pas de connaissance correcte des modes de transmission. Le résultat de l’enquête ont mis en évidence la nécessite de créer des services de santé ‘gay friendly’ et des facilites de dépistage a travers le pays.
Selon l’étude, 3 a 10 % de la population masculine âgée de plus de 15 ans est homosexuelle, bisexuelle ou transsexuelle. L e AIDS Unit du ministère de la santé a réalisé une enquête dite Integrated Behavioral (IBBS) pendant eux mois en 2010 chez les Men Having Sex with Men (MHSM).
« La stigmatisation et les discriminations envers cette catégorie de personnes les amenent a caché leur homosexualité et leur bisexualité. Cela les rend encore plus vulnérables au VIH/Sida et autres infections’, souligne l’étude. 10 % d’entre eux ont indique qu’ils se sont vu refuser un emploi, 8% un logement et 7,5% une assistance policière a cause de leur statut sexuel. 40 % ont été victimes d’insultes verbales et 14 % de relations sexuelles forcées.
Réorganiser la General School of Nursing. Faciliter l’accès a nos universités pour les étrangers. Ou encore proposer une formation aux jeunes sans emploi. Ce sont les mesures phares pour le secteur de la formation. L’accent sera également mis sur l’apprentissage pour répondre Á une demande déjÁ existante, comme la création des cours pour ceux souhaitant travailler sur des paquebots.
La Central School of Nursing sera agrandie et réorganisée. Et ce, afin de mieux répondre aux besoins locaux, mais aussi pour préparer les étudiants au travail Á l’étranger. La mise en places d’écoles privées d’infirmiers sera d’infirmiers sera également encouragée. D’autre part, Rs 87 millions seront allouées pour le ‘pre-registration training’ de 375 diplômés en médecine.
Afin d’encourager les jeunes Á saisir les opportunités qui se présentent dans le secteur touristique, plus particulièrement sur le paquebot de croisière, des cours a cet effet seront offerts a l’Ecole Hôtelière Sir Gaëtan Duval. Dans la même veine, des cours de sécurité en mer, de lutte contre le feu et de premier secours seront offerts par la Mauritius Maritime Training Academy. Environ 500 jeunes sont attendus chaque année Á ces cours.
This study seeks to provide an overview of the evolution of reproductive health rights, to outline the obligations of States under international law, and to link women’s reproductive health rights to HIV. It highlights a number of pertinent issues such as pregnancy and discrimination, control over fertility, family planning and access to contraceptive services, access to safe, legal abortion, HIV testing during pregnancy, and coerced or forced sterilisation. It also provides recommendations for international organisations and states.